REFLEXes

Quand l’extrême droite se met en culture (suite)

ED_culture-suite-1(Article publié en janvier1994 dans le n° 41 de la revue REFLEXes)

L’extrême droite est fortement présente sur les universités parisiennes depuis leur création par l’intermédiaire entre autres dès 1902 de l’Action française. Mais au lendemain de mai 1968, les universitaires de droite se regroupent au sein d’universités comme Assas ou Paris IV. Très influente par la suite sur les gouvernements de droite, elle est au fait du combat de «l’école libre» et du projet de loi Devaquet.Mais aujourd’hui, presque 26 ans plus tard, qui sont ces professeurs qui luttent pour les valeurs de la droite extrême au sein des universités parisiennes ? Quelles sont ces facs et quels contacts entretiennent-elles ? Quelles sont les organisations auxquelles ils appartiennent ? Finalement, à l’aube d’un regain d’une «guerre scolaire», l’extrême droite est-elle toujours en passe de servir de base idéologique et d’influencer le pouvoir politique en place ? S’est-elle alors développée qualitativement et quantitativement ?
PARIS I (Panthéon Sorbonne)
Plusieurs personnalités de l’extrême droite arpentent les couloirs de cette université qui peut se vanter d’avoir dans ses murs des lepénistes, des royalistes, des catholiques intégristes et des membres de la droite dite classique, qui fricotent avec l’extrême. Le RPR trouve son principal représentant en la personne du professeur de géographie Gérard-François Dumont, chargé du secteur démographie. Passionné de démographie, il crée en 1980 la «Démographie politique» ; il travaille avec Pierre Chaunu pour le projet de loi sur la famille (1986-1988), il est membre de l’Institut National des Hautes Études Démographiques (INHED) et directeur-adjoint de l’Institut d’Urbanisme et d’Aménagement de la Sorbonne, qui organise des séminaires pour les DEA, des réunions ouvertes au public[1]… Yves-Marie Adeline, docteur à l’université de Paris I, auteur de nombreux ouvrages dont L’aube royale ou encore Notre combat culturel, milite dans son quotidien pour ses aspirations légitimistes[2]. Ainsi, il intervenait à la dernière université d’été[3] des légitimistes. Plutôt minoritaires au sein des royalistes, les légitimistes se réunissent dans l’Association des légitimistes de France, créée en 1957. Pour premier président, elle avait choisi le comte Édouard de Roquefeuil-Anduze, ancien attaché au cabinet du maréchal Pétain. Quant au Front national, il peut également se vanter d’avoir un représentant de marque en la personne de Pierre-Guillaume D’Herbais, professeur à Paris I, consultant de la Société d’Études et de Gestion des Régimes Sociaux (SEGRS). Mais ce dernier n’est pas officiellement au FN alors qu’il est marié à Katherine D’Herbais, conseiller régional FN dans l’Oise (60) et qu’il est repreneur du journal Minute avec Jean-Claude Martinez, Serge de Beketch et Alain Renault !

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PARIS II (Assas)
L’université de Paris II n’est plus à présenter aujourd’hui. Elle fait l’objet, chaque année, de tout un tas d’articles relatant les faits et méfaits de l’extrême droite. Mais plus rares sont les articles consacrés aux professeurs qui y enseignent. Et pourtant, de Jean-Pierre Brancourt[4] à Jean Lamarque en passant par Guy Augé pour les légitimistes, de Roland Drago, à Jean Foyer en passant par François Terre, Jean-Claude Soyer et André Decocq pour la famille de la droite et Jean-Claude Martinez pour le FN, le corps professoral de cette université mériterait aussi toutes les attentions. Si Jean-Claude Martinez n’est, semble-t-il, plus à présenter (voir ci-dessous), son acolyte du FN et membre du conseil scientifique, Jean Lamarque, professeur de droit public et légitimiste, reste souvent dans l’ombre. Quant à Brancourt et Augé, ils sont largement connus de par leur implication au sein du journal La Légitimité. Si André Decocq[5] n’est plus à présenter non plus, ses amis du RPR ou de la Nouvelle Droite libérale du Club de l’Horloge sont, pour la plupart, d’illustres inconnus. Et pourtant, Jean Foyer, professeur de droit, est l’ancien garde des sceaux du général De Gaulle. Il est également membre du comité directeur de l’association pour le Développement de la Démocratie Directe (A3D), parrainée par le Club de l’Horloge et qui a comme président Yvan Blot, transfuge du RPR[6], membre du bureau politique du FN depuis mai 1989.
Jean-Claude Soyer est professeur de droit pénal, membre de la commission européenne des droits de l’Homme, éditorialiste au Figaro, auteur de Justice en perdition. Il participe également aux activités du Club comme ce fut le cas lors de l’un de ses séminaires politiques[7]. François Terre, professeur de droit est lui aussi éditorialiste au Figaro[8] et très proche du Club. Tout comme Michel Drago, professeur de droit et administrateur de l’association «Enseignement et Liberté»[9].
PARIS IV (Sorbonne)
L’université Paris IV est depuis 1973 le bastion de la droite réactionnaire et de l’extrême droite. On y dénombre encore aujourd’hui plus d’une vingtaine de professeurs engagés dans le combat anticommuniste, pour la défense de la culture française, le retour de l’ordre moral… Tous les courants de la droite et de l’extrême droite y sont représentés. Ainsi, tout comme Lyon III, outre le fait que la force dominante n’est pas ici le GRECE mais plutôt la partie la plus dure de la droite classique, cette université est un laboratoire de pensée, un lieu de collusion de toutes ces tendances. Depuis sa création, elle ne cesse de produire des cadres qui, formés au milieu d’une élite droitière, de toutes tendances, peuvent prendre place dans l’organigramme de l’UDF, du RPR ou du FN.
Ainsi, le remplaçant de Jules Monnerot à la présidence du conseil scientifique du FN est un membre éminent de l’UNI et ancien professeur de littérature française de Paris IV. Jacques Robichez, agrégé de lettres, né le 11 décembre 1914, docteur ès lettres, chevalier de la Légion d’Honneur, officier de l’ordre national du mérite, n’a pas perdu son temps sur les bancs de l’université. Dès son entrée à la Sorbonne en 1984, il se charge de reconstituer et de développer les activités de l’UNI, dont il est membre actif depuis 1974. Très proche de l’ancienne ministre des universités, Alice Saunié-Seïté[10], il participa à cette époque à l’élaboration d’une «charte de l’enseignement» en compagnie de Jacques Goudet. Très au fait auprès de la droite classique, il sait en 1987 donner des gages à l’extrême droite. Il fait tout d’abord partie des cinq universitaires qui lancent un «appel des universitaires pour une réforme du code de la nationalité»[11]. Puis en 1988, il est membre du Comité National de Soutien à la candidature de J.M. Le Pen (CNS)[12].
Aujourd’hui, il anime fréquemment les pages littéraires de Présent. Il est d’autre part auteur de nombreux ouvrages sur le théâtre, la littérature française ou d’outils pédagogiques destinés aux bacheliers et aux universitaires. Dans son entreprise de «reconquête culturelle», il peut compter sur l’aide des vingt-cinq autres professeurs qui composent ce conseil, et plus particulièrement sur celle de deux royalistes légitimistes, Claude Rousseau et Claude Polin, avec lesquels il a eu l’habitude de travailler au sein de Paris IV. Le premier est agrégé de philosophie, maître de conférence et professeur à l’École des hautes études. Cet universitaire, qui vient de fêter ses 57 ans, est lui aussi auteur de tout un tas d’ouvrages tels que L’anti-marxisme à visage nouveau, Du conservatisme à la révolution, L’exemple de Pascal[13]… Le second lui est très proche puisqu’il est également professeur de philosophie politique à Paris IV. Ils font tous deux partie des cinq universitaires qui lancent l’appel pour une réforme du code de la nationalité, ils sont, bien entendu, membres du CNS, participent à une table ronde des Assises de la désinformation en décembre 1989, écrivent dans La Légitimité et dans Réaction… Ils sont infatigables ! Notons, auprès d’eux, la présence d’un membre du Conseil scientifique du FN et professeur à Paris IV, Jacqueline Ysquierdo. Docteur ès lettres, intégrée au groupe de recherches et d’études comparatistes ibéro-françaises de la Sorbonne, elle est également signataire au CNS. Mais au-delà des membres du conseil scientifique, le FN peut aussi compter sur l’aide de professeurs membres du FN comme Roger Asselineau[14], Henry Bouiller[15] ou Jacqueline Hellegouarc’h, ou de professeurs proches du FN comme Philippe Menard, Michel Crouzet ou encore Maurice Boudot[16]. Tous sont signataires du CNS. Ainsi, ils se servent de leur influence dans l’université pour faire avancer leurs idées et savent se souder autour d’un texte ou d’un comité afin de contrer toute idée «progressiste» ou bloquer la nomination de profs «politiquement incorrects» !

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L’UNI, dont Jacques Rougeot (voir ci-dessus) est président-fondateur, est réputée pour bloquer la nomination de professeurs dits de gauche sur l’université, de par les liens étroits qu’elle entretient avec le Conseil National Universitaire (CNU) et qu’elle sait établir avec les présidents d’université. Rappelons que Jacques Bompaire, ancien recteur de Paris IV, était membre fondateur de l’UNI[17], tout comme le doyen Malaurie de la faculté de droit de Nanterre (Paris X) et Pierre Magnin, recteur de Versailles après 1987. Avec ces deux derniers, Nanterre (Paris X) et Orsay (Paris XI) sont à portée de tir… Rougeot, Malaurie et Magnin peuvent dans cette entreprise compter sur l’aide d’Yves Durand et de Pierre Chaunu. Le premier est aujourd’hui professeur d’histoire moderne à Paris IV, alors qu’il était hier professeur à l’université de Nantes [18], puis recteur d’Aix-Marseille, puis dès le 16 mars 1986, conseiller de Jacques Chirac pour l’Éducation. Fondateur de l’UNI, proche du Club, du GRECE et plus encore de J.C Rivière, co-fondateur du GRECE, personnage essentiel dans l’architecture de l’extrême droite universitaire, il a su s’appuyer sur l’ensemble du travail effectué depuis 1974 par la droite universitaire et regroupé au sein du Centre d’études et de diffusion[19], pour concocter le projet Devaquet. Mais comment ne pas s’étonner de voir celui qui fut l’un des rédacteurs de ce projet, nostalgique vendéen, monarchiste convaincu qui ne connaît qu’épuration et noyautage des institutions comme pratique politique, persuadé qu’il faut supprimer l’Éducation nationale, directeur de l’UFR d’histoire qui couvrit les activités de Rocques et permit la nomination d’André Delaporte, pourfendeur de la philosophie des lumières fasciné par les questions de caste, de lignage, de parenté, trouver encore sa place dans une université parisienne ! Le deuxième est également très connu de par son activité au sein du gouvernement Chirac, son activité au sein de l’INHED, au sein du Club de l’Horloge ou encore de par «l’appel des universitaires» dont il est l’un des instigateurs. Ce professeur d’histoire moderne depuis 1970 est tout de même membre du conseil scientifique du CNRS, secteur histoire, depuis 1980 et membre de l’Académie des sciences morales et politiques depuis 1982… Tous ces professeurs se sentiraient bien seuls s’il n’y avait pas des membres du GRECE ou des monarchistes-lefebvristes comme Jacques Bompaire, professeur de littérature grecque, ancien recteur de Nantes[20] et Nancy, ancien vice-recteur de l’académie de Paris, ancien attaché de recherche au CNRS, membre de l’UNI, présent à de nombreux colloques du GRECE et membre du comité de patronage de la revue Nouvelle École ou comme Roland Mousnier, professeur d’histoire, signataire de «l’appel des universitaires».
PARIS V (René Descartes)
On note la présence de Jean-Pierre Gridel, professeur de droit membre du Club de l’Horloge et celle de Pierre Debray-Ritzen, professeur à la faculté de médecine, membre du Comité de patronage de Nouvelle École.
PARIS VI (Pierre et Marie Curie)
Germain Kreweras est professeur émérite à l’université Pierre et Marie Curie. Ce dernier défendait ardemment «l’alliance des partis libéraux et du FN»[21]. Mais l’ancien président de cette université, Pierre Routhier, nous rappelle que beaucoup ne prennent pas position mais n’en pensent pas moins pour autant. En effet, ce normalien, agrégé de sciences naturelles, docteur ès sciences, géologue, né le 15 juillet 1916, ancien président de l’Union française des Géologues, de la société géologique de France, de la société européenne de géologie appliquée et de l’université Pierre et Marie Curie, est aujourd’hui vice-président du Conseil scientifique du FN. Ancien directeur de recherche au CNRS, chevalier de la Légion d’Honneur, il est l’exemple même de l’universitaire de droite extrême qui sait infiltrer les hautes sphères de la société. Pendant toutes ces années, combien d’esprits, de projets, d’orientations politiques a-t-il façonnés ? Combien d’alliés a-t-il laissés derrière lui ?
PARIS VII (Jussieu)
André Renoux, docteur ès sciences et directeur du laboratoire de physique des aérosols et transferts des contaminations a réussi à «s’infiltrer» dans l’université des «Gauchistes de Jussieu» ! Ancien membre du Conseil scientifique du FN, il semble tout de même ne pas déranger beaucoup le corps professoral de l’université !
PARIS IX (Dauphine)
Georges Lane et Pascal Salin sont de vieux routiers de l’extrême droite universitaire puisque le premier est membre du Club de l’Horloge et proche du GRECE depuis sa création alors que le second n’en est que très proche mais s’est davantage illustré avec son livre L’arbitraire fiscal et son implication au sein de l’association de Jean-Claude Martinez.

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Facultés libres et grandes écoles
Voilà pour ce qui est des universités parisiennes publiques, mais signalons tout de même la présence de professeurs de marque au sein des facultés libres ou des grandes écoles.
André Fourcans est professeur d’économie à l’ESSEC, membre du bureau politique de l’UDF en 1982, auteur de Pour un nouveau libéralisme et présent lors du septième colloque des horlogers le 13 décembre 1982. Tout comme Florin Aftalion, professeur et administrateur de l’ALEPS, participant du Forum des idées de l’opposition organisé par le Club de l’horloge et Magazine hebdo le 18 décembre 1984.
Institut d’Études Politiques (IEP)
Cet institut est sous la coupe du Club de l’Horloge dans lequel on retrouve Jean-Paul Bolufea, Jean-Louis Boursin et Yves-Marie Laulan. On trouve également un professeur d’histoire qui leur est proche, Alain-Gérard Slama, ancien élève de l’École normale supérieure, qui intervint lors du huitième colloque du Club «Socialisme et fascisme, une même famille ?».
INALCO (Institut National des Langues et Civilisations Orientales)
Henri de la Batiste d’Hust est professeur de civilisation du Maghreb, ce qui ne l’empêche pas d’être présent lors des activités des horlogers comme ce fut le cas lors du colloque sur «l’identité de la France».
Faculté Autonome d’Économie et de Droit (FACO) ((Cf. l’excellente Lettre d’Article 31 n°8.))

Cette université privée est la première création de l’APPESL[22], organisme qui chapeaute depuis sa création trois facultés «libres», l’IPC[23], la FLP[24] et la FACO. Cette dernière, créée en 1968 et installée rue Notre Dame des Champs, est aujourd’hui dirigée par Geoffroy de Gislain de Bontin (dont le nom se suffit à lui-même). Son vice-doyen, le Pr Malmezat, est membre du Cercle Renaissance et proche du FN. Cette faculté accueille avant tout des nationaux-catholiques «traditionalistes», réconciliés avec Rome. Qu’ils soient du FN ou proches de la nouvelle droite importe peu. Ainsi, Achille Dauphin-Meunier, ancien doyen et professeur, membre du CNS lors des européennes de 1984[25], est avant tout membre du comité de patronage de Nouvelle École. Il a régulièrement proposé, lors de son règne, les locaux de la FACO pour des réunions du GRECE ou du Club.
Deux anciens candidats du FN en 1978, Bernard Vivier et Francis Bergeron, ainsi qu’un membre actuel du FN, Jean-Claude Giverdon, enseignent également dans cette université. Vivier est journaliste à La France catholique et animateur de l’Institut Supérieur du Travail (IST)[26], alors que Francis Bergeron, combattant auprès des phalangistes chrétiens libanais est spécialiste des rubriques sociales de Présent, militant syndical CGC et CGPME… Le dernier, Jean-Claude Giverdon, professeur d’histoire économique, est membre de la direction générale du FN, expert au sein du Centre d’Études et Argumentaires (CEA) et conseiller municipal FN à St Cloud (92).

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Si l’hypothèse qui veut qu’une radioscopie, aussi précise et complète qu’elle soit, montre clairement la gravité du mal dont on souffre est vérifiée, alors celle-ci semble éloquente ! Plus de cinquante professeurs des universités parisiennes, marqués à l’extrême droite, travaillent et militent pour le retour de l’ordre moral en général ou le financement des écoles privées par l’État en particulier, au sein d’organisations aussi diverses que différentes. Combien encore, restent dans l’ombre ?
Plus d’une vingtaine d’organisations, proches de la droite ou de son extrême, appartenant parfois à des courants rivaux, entretiennent des liens étroits et luttent ensemble «contre les communistes qui se cachent potentiellement derrière chaque professeur» ! Combien sont encore inconnues ? Plus d’une vingtaine de professeurs ont eu des liens très privilégiés avec les instances suprêmes de l’Éducation nationale et ont su influencer le pouvoir en place de 1986 à 1988. Que penser de leur retour au pouvoir ? Comment s’étonner alors de l’activité, de la force, du nombre ou encore des multiples descentes et agressions des groupuscules de jeunes étudiants fascisants que les universités parisiennes forment, accueillent ou tolèrent ? Comment s’étonner de voir réapparaître les vieux démons des guerres scolaires ?
Ainsi, l’extrême droite universitaire parisienne se porte bien. Et même si les universitaires lyonnais semblent bénéficier d’une meilleure implantation, on ne saurait oublier que Paris II et Paris IV valent largement Lyon III. Elles sont, de plus, en perpétuel contact avec les autres universités par l’intermédiaire des conseils d’universités ou de toutes sortes de réseaux, commissions, comités et facultés parallèles. Finalement, l’extrême droite peut aujourd’hui compter sur un énorme réseau de relations pour influencer un pouvoir centralisé. Si, déjà aujourd’hui, l’université Lyon III n’est plus le principal laboratoire de l’extrême droite, alors que dirons-nous demain lorsque C. Pasqua aura fini de construire l’université privée «Léonard de Vinci» qu’il veut «à la pointe du département» ?

  1. M. Le professeur Gérard-François Dumont, université de Paris-Sorbonne, 191, rue St Jacques 75005 Paris, Tél : 44 32 14 00.[]
  2. Consulter l’excellent Que sais-je ? du professeur Stéphane Rials.[]
  3. Elle s’est déroulée du 8 au 15 août 1993.[]
  4. Collabore aux activités des catholiques lefebvristes.[]
  5. Cf. le rapport de la commission d’enquête sur le SAC.[]
  6. Membre du comité central du RPR de 1978 à 1989, conseiller général de 1985 à 1992, député RPR du Pas-de-Calais de 1986 à 1988, ancien chargé de mission auprès de Ch. Pasqua.[]
  7. «Terrorisme, criminalité, délinquance : échecs, illusions, propositions».[]
  8. Du moins jusqu’en 1985.[]
  9. Cf. La lettre d’Article 31 septembre 1993.[]
  10. Décidément, on retrouve toujours les mêmes ! Cf. REFLEXes n°40.[]
  11. Le Monde 17/06/1987.[]
  12. Le Figaro 07/04/1988.[]
  13. La pensée catholique n°195, 1981.[]
  14. Aujourd’hui professeur honoraire, il est délégué FN dans le 92.[]
  15. Lui non plus n’exerce plus.[]
  16. Professeur de philosophie à Paris IV, proche du Club de l’Horloge et à l’initiative de «l’appel des universitaires pour une réforme du code de la nationalité».[]
  17. Cf. Studia, n°1.[]
  18. Depuis le scandale de la thèse de Rocques en 1985 à Nantes, cette université semble aujourd’hui avoir retrouvé un peu de calme ! Merci au SCALP et à Virus Mutinerie.[]
  19. Centre créé par l’UNI et dirigé jusqu’en 1986 par Durand.[]
  20. Décidément ![]
  21. Le Figaro, 03/03/1990.[]
  22. Association de Parents pour la Promotion de l’Enseignement Supérieur Libre. Pour plus d’infos, cf. La Lettre d’Article 31 n°8[]
  23. Institut de philosophie comparée créé en 1969.[]
  24. Faculté libre pluridisciplinaire de Paris et d’Ile-de-France créée également en 1969.[]
  25. National Hebdo n°6, 14/06/1984.[]
  26. L’IST appartenait auparavant à la «maison Albertini» mais vient d’être racheté par le Conseil Général des Hauts-de-Seine de Charles Pasqua ![]
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